Aller au contenu

Page:Daxhelet - Cœur en détresse.djvu/181

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
171
CŒUR EN DÉTRESSE

dermes, se lamentent aux jointures des châssis, se ruent aux croisées…

Tantôt, tous les nécessiteux de Mavesée sont venus dans le parc ; et sous mes fenêtres, je les ai vus, hâves et gênés — quelques-uns rougissants — s’approcher de Gervel qui présidait à une distribution de charbon et de grossières couvertures de laine. Car j’ai voulu que nul foyer ne restât sans feu, qu’aucun lit ne fût sans la douceur des chauds tissus.

Ils sont partis, rassurés, heureux. Les regards qui se levaient sur moi, étaient des regards de paix : ceux des mères pleins de gratitude ; et ceux des hommes semblant presque fraternels.

J’ai senti la joie de bien faire…