Aller au contenu

Page:Daxhelet - Cœur en détresse.djvu/224

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
214
CŒUR EN DÉTRESSE

Quand, le lendemain, Xavier de Pitez entra, sur la pointe des pieds, dans le grand salon où le lit mortuaire s’étendait, couvert de fleurs au parfum lourd, déjà amer, il vit sous le drap blanc une forme qui gisait. Il souleva le voile et regarda la figure du défunt, reposée, mais terrifiante d’immobilité.

On respirait mal ; il sortit avec Gervel. Il pleurait, lui aussi.

Mais ce furent des sanglots qui secouèrent sa poitrine, quelques heures plus tard, quand il eut pris connaissance de la lettre de Jacques, et qu’il comprit son sacrifice.

Le testament fut ouvert devant les autorités compétentes et Xavier, qui était le seul parent du défunt.