qui porte le même titre. ― Si je l’ai transporté dans la poésie, c’est parce que la peinture à l’huile ne dure que quatre cents ans, du moins à ce que le baron Gros affirmait à Napoléon, qui, après avoir posé pour La Bataille d’Eylau, s’écria alors d’un ton dédaigneux : « C’était bien la peine ! »
Nadar, page 139. ― Parodie du poëme de Victor Hugo intitulé
Canaris (Orientales, ii.) Personne n’a eu les cheveux plus rouges
que Nadar ; mais, petit à petit, il est devenu blond comme Ophélia,
car on ne peut compter sur rien ! Tous les personnages nommés dans
cette ode sont surabondamment connus ; j’indique cependant à la
volée : Lherminier. ― C’est lui que Balzac a pris pour modèle de
son La Palférine. Il avait fondé Le Portefeuille, revue
diplomatique. Il a été le seul homme qui ait su jouer, après don
Juan, la scène avec M. Dimanche, et quoique Balzac les ait
écrémées, les belles histoires parisiennes dont il a été le héros
rempliraient encore un volume. ― Sasonoff, page 140, vers 17,
était un Russe de bonne noblesse, aimable