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Page:De Banville - Odes Funambulesques.djvu/369

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            Sa musique, sa flamme
                Ou son parfum ;


Le sujet de cette ode est clairement expliqué par le fragment de lettre qui lui sert d’épigraphe. M. Thomas Couture, dont j’admire infiniment le talent magistral et même l’orgueil, a à peu près désavoué ce morceau fameux, et il va sans dire que, s’il retire sa lettre, je retire mon ode.


Le Critique en mal d’enfant, page 160. ― De même que Figaro dit qu’on est toujours fils de quelqu’un, tous les critiques sont faits en quelque chose de plus solide que la baudruche. Mon ode ne vise personne ; mon personnage bouffon n’a pas eu de modèle dans la vie réelle, et doit être considéré comme une création de la pure fantaisie. Cependant, si quelqu’un désire avoir la clef de ce morceau, qu’il se rappelle un procédé très familier à l’auteur de La Comédie Humaine, et que par exemple il voie passim, à propos de Camille Maupin, le roman de Balzac intitulé