Puisque je ne suis pas, moi charmé dans vos fêtes,
De l’avis de Gozlan, sur ce que les poëtes
Durent un demi-siècle à peine...
C’est dans un article de Revue que Gozlan avait écrit, à propos
des poëtes modernes, la funeste prédiction que je lui reproche
plusieurs fois dans le cours de ce livre. Peut-être était-ce moi
qui avais tort, car c’est déjà bien joli de durer cinquante ans ;
« il y a cependant à Paris, comme dit Fortunio à la fin de sa
lettre à Radin-Mantri, un poëte dont le nom finit en go, qui m’a
paru faire des choses assez congruement troussées ».
Méditation poétique et littéraire, page 231. ― C’est la parodie
du poëme de Victor Hugo (les Rayons et les Ombres, v) qui commence
par ce vers :
On croyait dans ces temps où le pâtre nocturne...
Fournier, page 232, vers 22. ― C’est Marc Fournier, qui alors
dirigeait la Porte-Saint-Martin, et équipait le brick du Fils de la
Nuit.