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Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome II, 1807.djvu/325

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CORINNE OU L’ITALIE.

de moi, m’entourer de ses soins, me protéger par le respect qu’il inspirait pour son choix. Ah ! comment exister sans lui ? Pardonnez mon ingratitude. Dois-je reconnaître ainsi la constante et noble affection que vous m’avez toujours témoignée ? Mais je ne suis plus digne de rien, et je passerais pour insensée, si je n’avais pas le triste don d’observer moi-même ma folie. Adieu donc, adieu. »