Aller au contenu

Page:De l'amour des femmes pour les sots. Nouvelle éd. (1858).pdf/10

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

n’est-ce pas risquer d’avoir contre soi la majorité de l’un et de l’autre sexe ?

On convient que la matière est riche et féconde : j’ajoute qu’elle a été très souvent traitée. Aussi, si j’ai la prétention d’être bref, n’ai-je pas celle d’être neuf.

Je me contente de répéter ce que l’on a dit avant moi ; mes pages consciencieuses sont le résumé de nombreux et volumineux écrits. C’est, à proprement parler, une compilation scientifique, et j’aurais obtenu la plus douce récompense de mes efforts, comme disent les érudits, si j’inspirais aux lecteurs l’idée d’approfondir un sujet aussi important.