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Page:De l'excellence et de la supériorité de la femme.djvu/116

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qui pussent embellir ce traité ; loin de le regarder comme un critique mordant, je lui saurois gré de m’avoir secondé, et d’avoir rendu, par ses lumières et ses recherches, ce petit ouvrage plus complet et plus riche. Je le finis ici brusquement, car je craindrois qu’il n’eût enfin une longueur excessive.

FIN.