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Page:De l'excellence et de la supériorité de la femme.djvu/13

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sans vous, la vie seroit un fardeau insupportable. Ils jouissent de vos faveurs enivrantes, et ils vous outragent ! O Agrippa[1] ! de tous les hommes, nous sommes les seuls, toi et moi, que l’amour propre n’ait point rendus aveugles. Nous sommes les seuls qui reconnoissions que, par le fait et non de droit

Du côté de la barbe est la toute-puissance.

  1. Il vient de paroître un ouvrage, intitulé, LE MÉRITE DES FEMMES, par Legouvé. O Femmes ! qui pourroit le croire ! une d’entre vous s’est servi des bouts rimés de Legouvé, pour faire LE MÉRITE DES HOMMES !