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XVII
Dans la matinée du lendemain, une voiture s’arrêta devant Coatbez. Un Hindou, assis près du chauffeur malais, descendit, sonna et présenta une enveloppe au domestique en disant :
— Veuillez remettre ceci à M. Dourzen.
Hervé, dans la salle à manger, commençait la lecture de son journal. Il ouvrit l’enveloppe et parcourut le court billet ainsi conçu :
« Je voudrais vous parler, mon cousin. Ma voiture va vous conduire à Kermazenc.
« Avec l’assurance de mes meilleurs sentiments.
« Dougual de Penanscoët. »