Aller au contenu

Page:Desbordes-Valmore - Livre des mères, 1840, t1.djvu/118

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LE PETIT OISELEUR.

la mère.

Vous voilà bien riant, mon amour ! quelle joie !
Comme un petit chasseur, traînez-vous quelque proie ?
Sous ce fragile osier cachez-vous un trésor ?

l’enfant.

C’est un oiseau du ciel il a des plumes d’or.