Aller au contenu

Page:Desbordes-Valmore - Livre des mères, 1840, t1.djvu/182

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
177

L’humble chemin,
Où je ne quitte
Jamais ta main :
Car, dans l’espace,
Aux prosternés,
Une voix passe,
Qui dit : « venez !


Tout mal sommeille
Pour ta candeur,
Tu n’as d’oreille,
Que dans ton cœur
Quel temps ? quelle heure ?
Tu n’en sais rien :
Mais que je pleure ;
Tu l’entends bien !