Aller au contenu

Page:Desrosiers - Les Opiniâtres, 1941.djvu/114

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
112
les opiniâtres

comme une bille impuissante et roulante au bout d’une chaîne de fer ; on se cramponne des mains et des pieds, on se piète de toutes ses forces, mais en vain. On travaille plus qu’il n’est bon, on manque de sens commun. Et ça fait mal, continuellement…