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HISTOIRE PERSONNELLE
DE
DAVID COPPERFIELD
TROISIÈME PARTIE.
SUITE DES SOUVENIRS DE MA JEUNESSE.
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CHAPITRE Ier.
Une dissolution de société.
J’ai dit avec quelle ardeur j’avais adopté l’idée de sténographier les débats du Parlement pour un journal quotidien. « Il faut battre le fer quand il est chaud. » Imbu de cette maxime proverbiale, je me mis à l’œuvre, et il doit m’être permis d’admirer ma persévérance. J’achetai d’abord un traité du noble art de la sténographie, qui me coûta dix shellings et six pence ; armé de cet ouvrage, je me plongeai