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Page:Diderot - Œuvres complètes, éd. Assézat, XVIII.djvu/546

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rêveries. Mais dites-moi pourquoi j’y arrive toujours à votre insu, à celui de votre sœur et de votre mère ?

Adieu, chère et tendre amie. Je vous embrasse de toute mon âme.


C’est aujourd’hui jour de fête et de messe : ce qu’il y a de plaisant, c’est que c’est la même cloche qui fait marcher les coquemars et le calice. C’est une idée folle qui me fait toujours rire.


FIN DU TOME DIX-HUITIÈME.