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Page:Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/152

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LE POÈME SANS NOM.


CXVIII


J’ai fait bonne route.
Oui. oui, j’ai bien fait :
Car bien fictif est
L’espoir que j’écoute.

Tu n’aurais, sans doute,
Pas dit, en effet,
Ce qui t’étouffait.
Non, non, somme toute.

Or donc, sous mon toit
Je demeure ; et, toi.
Reste en tes parages

Il est trop constant
Qu’à présent tu rages ;
Et je suis content.