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Page:Dorvigny - Ma Tante Geneviève, ou Je l’ai échappé belle, 1800.djvu/18

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ou à celles qui sont dans le cas de lire. Les oreilles sont déjà savantes, quand les yeux sont encore à l’école…

Mais en faisant passer une fille jeune, simple et vertueuse comme Suzon, et une plus éveillée qu’elle, comme l’était sa tante Geneviève dans ses premières années, par tant de différentes situations où beaucoup, même presque toutes les jeunes personnes peuvent se trouver, l’auteur a eu en vue un véritable but moral.

Ça été de faire observer sous combien de formes la séduction peut s’envelopper et se déguiser pour atteindre ce sexe charmant et fragile… sur-tout quand l’innocence l’empêche de deviner et