» un garçon ». Et comme il avançait
sa main, à lui, pour me toucher la poitrine,
je me reculai. « Oh ! oh ! monsieur
le curé, vous avez là un singulier
garçon ! il est vraiment modeste
comme une fille ! Oui, monsieur, lui
répartit le curé, et je l’ai toujours
remarqué avec plaisir. C’est une
preuve que sa tante l’a bien élevé.
C’est ce qui me paraît, continua le
grand vicaire, et vous-même vous
n’achevez pas mal son éducation !
Oh ! je n’y épargne pas mes soins,
dit bonnement le curé, et de son côté
il a grande envie d’en profiter. — Mais
je crois bien qu’il n’en profitera peut-être
que trop, et c’est positivement
ce que je veux éclaircir… Allons,
mon beau jeune homme, faites-moi
le plaisir d’ôter votre veste et votre
gilet. Vous êtes modeste, mais je suis
curieux, moi, et je veux voir un peu
votre taille… » et il essayait déjà à
m’aider.
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GENEVIEVE.