Page:Dostoïevski - Krotkaïa, trad. Halpérine, 1886.djvu/155

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là, à l’écart, et pleurent ; chacune reconnaît son fils ou sa fille, et les enfants volent vers elles, les embrassent, essuient leurs larmes avec leurs petites mains, et les supplient de ne pas pleurer, car ils se sentent si bien là…

Et en bas, le matin, le concierge a trouvé le petit cadavre de l’enfant réfugié dans la cour, refroidi derrière la pile de bois. On a trouvé aussi sa mère…

Elle était morte avant lui ; tous les deux se sont revus dans les cieux, dans la maison du Seigneur…