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Page:Doumergue - Discours à la nation française, 1934.djvu/84

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C’est l’expression de ce besoin, en même temps que celle de notre ferme volonté de collaborer sincèrement et cordialement à toute mesure, à toute entente, à tout accord capable de donner aux autres, comme à nous-mêmes, l’assurance de pouvoir vivre, travailler et progresser en paix, que M. le Ministre des Affaires Etrangères est allé apporter, en notre nom, aux nations amies auxquelles il a commencé de rendre visite.

L’accueil qu’il a partout reçu prouve que nous avions été bien compris. Un ferme espoir de succès nous encourage donc à persévérer dans la voie où nous nous sommes engagés.

Il me reste, mes chers amis, à vous dire un mot de l’œuvre de justice que nous poursuivons et voulons mener à bien, pour don-