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Page:Driant, Histoire d’une famille de soldats 1, 1901.djvu/330

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Jean les salua d’un sourire en inclinant légèrement son épée.

Et pendant que les hauts bonnets à poil défilaient dans un ordre admirable, les deux vétérans restèrent là, immobiles, contemplant avec des yeux étincelants, où brillait une pointe d’envie, cette belle troupe qui, un mois plus tard, devait faire, derrière Napoléon, son entrée triomphale à Berlin.