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Page:Driant, Histoire d’une famille de soldats 2, 1899.djvu/197

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avait de nombreux parmi ces pauvres gens), on trouve quelquefois une vérité, et qu’en matière de science, on ne doit jamais rien négliger.

C’est ainsi qu’un matin, un homme déjà vieux, au visage émacié, aux yeux ardents et fiévreux, se présenta. Il remit sa carte à Bouloche, qui lut :

dietz
Ingénieur.

Mon capitaine est absent !