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Page:Driant, Histoire d’une famille de soldats 3, 1904.djvu/128

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Intelligence médiocre, d’un caractère méditatif et concentré, il ne vivait que pour servir le petit-fils des Cardignac, qu’il aimait d’une affection sauvage mais ardente.


Paul tombait sur Bombonnel et ses francs-tireurs.

Quant à Margarita, les journées lui semblaient mortellement longues, sans nouvelles de Pierre Bertigny, et, autant par affection d’épouse que comme Française d’élection, elle désirait ardemment le refoulement des Prussiens, ne fût-ce que pour avoir des nouvelles de son mari.