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Page:Driant, Histoire d’une famille de soldats 3, 1904.djvu/222

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cela les constantes traditions de Saint-Cyr, « piloter » ses deux recrues à leur arrivée au régiment.


Le colonel serra vigoureusement la main du sous-lieutenant.

Grâce à lui, les deux amis allaient trouver singulièrement facilitées les premières démarches imposées aux nouveaux promus : présentation aux camarades, visites aux officiers et à leurs femmes, choix d’un logement. L’ancien que le hasard avait attribué à Georges et à Zahner était un « débrouillard » : toutes ces « corvées » allaient être menées rondement.