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Page:Driant - L’invasion noire 1-Mobilisation africaine,1913.djvu/265

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Niger : ce qui le distinguait, avant tout, c’était un entrain endiablé.

Et cet entrain était communicatif, car l’ingénieur n’avait pas encore conversé depuis dix minutes avec lui que sa confiance, fort diminuée tout à l’heure, était revenue tout à fait.

Le merveilleux aspect de cette armée en mouvement, l’expression de force qui s’en dégageait, le parfait ordonnan-