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Page:Du Saussay - Perverse, 1896.djvu/141

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XI

MARIETTE ENTRE AU SERVICE
DE SAN-PEDRO

Huit jours plus tard, Mariette d’Anjou, habillée rue de la Paix, prenait possession d’un appartement meublé, rue du Colysée, et, comme par hasard, rencontrait aux Acacias de San-Pedro et de Plombières.

Celui-ci présentait la belle à l’Américain, et, tous les trois, autour d’une table du Pavillon d’Armenonville, prirent le porto.

Une voiture au mois attendait Mariette à la porte. Ce fut de San-Pedro qui, très allumé, offrit la main quand la belle enfant se retira.

Le marquis de Plombières acheva l’aventure, avec art :