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Page:Dujardin - Antonia, 1899.djvu/288

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LA LÉGENDE D’ANTONIA

Gaspard

Femme, à la reine que tu étais
J’offre l’or aux suprêmes reflets…


Balthazar

J’offre, ô femme, à la mère que tu deviens
La myrrhe, ainsi qu’aux temps anciens.