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Page:Dumas - La salle d'armes 2 Pascal Bruno, Dumont, 1838.djvu/186

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— C’est Teresa ! s’écria-t-il avec un accent de désespoir impossible à imaginer : ils ont avancé la cérémonie, ils n’ont pas voulu attendre à dimanche ; ils ont eu peur que je ne l’enlevasse d’ici là !… Dieu m’est témoin que j’ai fait tout ce que j’ai pu pour que cela finit bien… Ce sont eux qui n’ont pas voulu ; malheur à eux !

À ces mots, Bruno, aidé par Ali, hissa la voile de la petite barque, qui, tournant le mont Pellegrino, disparut au bout de deux heures derrière le cap de Gallo.