Aller au contenu

Page:Dumas fils - La Dame aux camélias, 1852.djvu/155

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

tous les jours. Elle va revenir. Laissons-la seule, elle aime mieux cela.

Quant à moi, je ne pus y tenir, et au grand ébahissement de Prudence et de Nanine qui me rappelaient, j’allai rejoindre Marguerite.