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Page:Duplessis - Aventures mexicaines, 1860.djvu/180

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esprit que le seigneur Cota, me répondit le curé Ignacio ; et, tenez, ajouta-t-il en branlant la tête d’un air de doute, voulez-vous savoir toute mon opinion ?

— Certainement.

Le curé Ignacio approcha sa bouche de mon oreille, et me dit, tellement à voix basse que ce fut à peine si je pus l’entendre : « Mon opinion est que nous ne sommes dans ce drame qu’au commencement de la fin. »