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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, I, 1857.djvu/185

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reils propos, et tu prétends que tu es mon ami ! Je n’ai qu’une parole, entends-tu ! J’ai dit que je t’accorderai la grâce que tu me demanderas : par les cornes du diable, je ne reculerai pas ! Parle, parle, te dis-je !

— Bien-aimé George, n’insiste pas !

— Veux-tu parler, voleur ?… Parle, te dis-je, ou je te brise une bouteille sur le crâne.

Un imperceptible sourire de triomphe effleura les lèvres de l’avocat Berch. Quant