Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, I, 1857.djvu/277

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reconquis sa liberté par l’abandon de sa colossale fortune, s’épanouissait de joie à la cour d’Angleterre, en songeant qu’elle était enfin délivrée du joug de son austère et ennuyeux époux.

Les couplets audacieux qui charmaient en ce moment même cette société relâchée, c’était le page français de la duchesse de Mazarin qui les jetait aux échos sans pudeur de White-Hall.

À côté d’Hortense Mancini et frôlant de sa robe de brocart la jambe du roi, se tenait la duchesse de Porstmouth dont les