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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, I, 1857.djvu/298

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— Qu’en pensez-vous, sire ? demanda hardiment l’italienne en s’adressant au roi. — Ma foi, chère Hortense, je n’ose me prononcer.

— Au fait, c’est possible… Ainsi, Votre Majesté croit à l’amour absolu, au dévouement aveugle, en un mot, aux veuves du Malabar ?

— Aux veuves du Malabar ? non !

— Alors, à l’amour absolu ?