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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, I, 1857.djvu/311

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quittez cet air effarouché qui appelle l’attention et la médisance… bien. Maintenant, écoutez-moi.

— Parlez vite, Barbara.

— Rien ne nous presse… Dites-moi, ma chère Louise, avez-vous à obtenir du roi une faveur signalée, un consentement qu’il se refuse obstinément à vous accorder ?

— Pas en ce moment, Barbara.

— Eh bien, alors, tenez-vous tranquille,