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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/109

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— Le fait est, continua Fitzgerald, que je vous trouve ce matin, autant qu’il m’est permis d’en juger à la lumière de votre fumeuse lanterne, un air dégagé et joyeux qui m’enchante.

— Ah ! cher ami, si vous saviez l’excellente aubaine qui m’arrive, vous ne vous étonneriez pas de me trouver si allègre, si satisfait.

— Quelle est cette aubaine, cher gentleman ?

— Je fais partie du gouvernement !