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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/122

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vit de loin monter dans une voiture fermée qui partit aussitôt, Aucun garde n’accompagnait le véhicule.

L’Irlandais soupira bruyamment et dut déployer une force inouïe de volonté pour ne pas laisser éclater la joie folle, enivrante, immense, qui débordait de son cœur.

La voiture, après une demi-heure de marche, s’arrêta dans le Strand, devant un assez bel hôtel, dans lequel, sur l’invitation du shérif, Fitzgerald entra. L’officier de police et l’Irlandais montèrent les