Aller au contenu

Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/132

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

vous avez beaucoup demandé, beaucoup exigé, mais vous n’avez rien promis !

— Et je ne vous promettrai jamais rien non plus, Fitzgerald !… Votre délicatesse est si excessive que j’aurais peur de vous froisser en traitant une misérable question d’intérêt, en faisant luire à vos yeux le grossier appât d’un salaire !

L’Irlandais regarda fixement son interlocuteur, puis d’une voix ferme, presque impérieuse :

— Mylord, dit-il, laissons de côté tous