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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/146

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brassa encore une fois son frère, tandis que son regard anxieux l’interrogeait avidement.

— Ne crains rien, mon enfant, interrompit Fitzgerald en affectant de sourire ; mylord Jefferies prend souvent plaisir à effrayer les gens, mais il n’est pas aussi méchant que le prétend la renommée… Retire-toi, ma Suzanne, dans quelques minutes j’aurai fini de m’expliquer avec mylord, et j’irai moi-même te chercher.

— Tu me jures, frère, que tu ne cours plus aucun danger ?