d’en être l’auteur. Toutes ces calomnies, qui ne peuvent aboutir à rien de bon pour votre parti, commencent à me fatiguer, et je suis résolu d’y mettre un terme. Cependant, comme il me répugne de sévir contre des fanatiques de bonne foi, je veux, avant d’en venir aux moyens extrêmes, employer la persuasion et la douceur. Je n’ignore pas de quelle autorité jouit votre voix parmi vos amis politiques. J’ai jeté les yeux sur vous, Murray, pour m’aider à rappeler à la raison et à ramener dans le sentier du devoir des sujets plus égarés encore que coupables. J’ajoute, — et ceci de vous à moi et seulement afin de mettre votre conscience en repos, — que j’ignorais l’incarcération de William Jenkyn. Soyez persuadé que si j’avais connu l’honorable