Aller au contenu

Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/194

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

passible contemplait froidement cette douleur et semblait attendre que la duchesse lui adressât la parole.

— Madame, dit-il enfin en voyant que l’infortunée continuait à garder le silence, je vous demanderai la permission, si vous n’avez plus besoin de mes services, de retourner auprès de mon maître.

— Non, Chiffinch, restez encore ! s’écria la duchesse en étendant son beau bras vers le page comme pour le retenir : restez encore, et parlez-moi de lui, puisque vous avez, vous, le bonheur de pouvoir veiller à son chevet.