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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/197

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— Alors, Chiffinch, il n’y a plus à hésiter ! Coûte que coûte, il faut procurer au roi cette suprême consolation, la seule qu’il soit en notre pouvoir de lui donner…

Chiffinch allait répondre, quand un coup discrètement frappé à la porte arrêta la parole sur ses lèvres ; presqu’aussitôt, l’ambassadeur de France, M. de Barillon, se présenta.

— C’est le ciel qui vous envoie, mon excellent ami, s’écria la duchesse en courant vers lui. Écoutez, il n’y a pas une