Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/262

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liam avec un étonnement qui approchait de la stupéfaction. En effet, c’était la première fois depuis quarante ans que le dévoué serviteur discutait un ordre de son maître.

Toutefois, prenant en considération l’inaltérable dévoûment et l’âge avancé de William, ce fut avec une grande douceur qu’il lui dit :

— Peux-tu craindre la pluie, la neige et le vent, mon vieil ami, quand il s’agit peut-être des destinées de l’Angleterre ?

— Oh ! mylord, s’écria William d’une