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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/287

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— Pas avant que je n’aie ta promesse !

Fitzgerald, domptant l’agitation fébrile à laquelle il était en proie, s’arrêta tout à coup devant son jeune frère…

— Tu le veux, dit-il d’une voix sourde et presque inintelligible, enfant, enfant, tu ignores les angoisses que tu te prépares… Après tout, qui sait !… Peut-être ton généreux sacrifice, en te permettant de m’aimer toujours, en t’empêchant de me mépriser, sera-t-il profitable à ton avenir… Eh bien ! soit, James, à toi la sanglante besogne de cette nuit… Partons !