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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/289

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qui ne l’avaient pas préoccupé une seule seconde depuis qu’il était resté seul, lui revenait à l’esprit.

Il se leva, plaça dans un coffre en vieux chêne, orné de ferrures, les papiers et la miniature, ferma le coffre et mit la clé dans sa poche.

Puis, se dirigeant vers un bahut dressé dans l’angle du salon, il prit sur une étagère deux grands pistolets à double canon, fit jouer leur détente, s’assura attentivement de leur excellent état, mit chacun d’eux dans l’une des poches de revers du large surtout dont il était enveloppé, et enfin tous ces préparatifs faits