Aller au contenu

Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/51

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Oui, ma fille était avec moi.

— Il est étrange, reprit l’officier après un court silence, que je n’aie point vu passer votre voiture, car depuis l’ouverture des portes de White-Hall, je n’ai point quitté mon poste.

— Cela n’est au contraire nullement étrange, sir Henri… Nous avons été introduits dans le cabinet de Sa Majesté par l’escalier privé du jardin, qui donne sur la Tamise.

— Ah ! c’est différent… Mais, permettez.