Aller au contenu

Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/67

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Non, mon cher monsieur Short… Il n’y a eu aucune distraction de votre part ; c’est un cri qui s’est échappé de votre cœur ! Au nom du ciel, au nom de l’estime toute particulière que j’ai pour vous, Sa Majesté est-elle oui ou non en danger ? Ma confiance en vous est illimitée, monsieur le docteur ; ce serait mal d’essayer de me tromper… Je veux la vérité, entendez-vous ? la vérité tout entière !… Que pensez-vous de l’état de Sa Majesté ?

— Mon Dieu, duchesse, je pense… je pense…

— Vous hésitez, docteur ? Mon Dieu, il y a péril !