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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/75

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santer aussi, nous deux ? J’aime beaucoup la plaisanterie, moi !… je me délecte dans un gai badinage…

— Mylord, je suis impatiemment attendu en ville ; de nombreux malades réclament mes soins.

— Dieu me garde de vous détourner de vos nobles et bienfaisantes occupations !… Voulez-vous me permettre de vous offrir mon carrosse ?

— Je vous rends mille grâces, mylord !