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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/16

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— Vous conviendrez du moins, répondit-il avec une apparente indifférence, que le colonel Kirke ne s’est encore fait redouter que des ennemis de l’Angleterre, et que, s’il y a du sang sur ses mains, c’est dans la guerre contre les Maures qu’il l’a répandu…

— Vous dites vrai, capitaine. A-t-il suivi son régiment à Londres ?

— Non, monsieur. Comme moi, il voyage depuis l’abandon de Tanger. Je crois cependant qu’il ne tardera pas à retourner en Angleterre… Quant à moi, je n’ai d’autre désir que de rentrer dans ma patrie,