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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/178

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tourna vers le colonel, et, le saluant avec une froide politesse :

— J’espère, monsieur, lui dit-il, que vous voudrez bien me faire l’honneur de m’accompagner à ma maison. J’ai hâte d’apprendre en détail, quelque douloureux que me soit ce récit, les derniers moments de mon noble et brave compagnon lord Lisle, de connaître quelles ont été ses dernières paroles.

— Ses dernières paroles ont été pour me recommander d’aller vous trouver au plus vite, sir Charles Murray, répondit gravement Kirke ; votre invitation est