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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/230

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profond, se manifestait par des signes différents.

Le vieux puritain, les bras croisés sur la poitrine, le front plissé, l’âme en proie aux plus graves réflexions, regrettait amèrement son vieux frère d’armes si cruellement frappé ; mais des reflets moins sombres qui, d’instants en instants, passaient sur sa face, et son œil qui s’allumait tout à coup, laissaient voir que la nouvelle de l’assassinat de lord Lisle n’occupait pas toutes ses pensées.

Lucy, immobile et silencieuse, pleurait